Le groupe va choisir le nom de Daddy avant de devenir, sur les conseils de Richard Palmer, Supertramp, d’après le nom d’un roman écrit par William Henry Davies en 1908, intitulé Autobiography of a Supertramp (littéralement, L’Autobiographie d’un super-clochard).
Sam finance, mais le groupe est loin de vivre dans l’opulence. Le mécène paie le matériel et avance parfois un peu d’argent lorsque cela s’avère indispensable. Le groupe retourne donc se produire au P. N. Club de Munich, à un rythme de cinq à sept concerts par semaine. De retour au Royaume-Uni, Supertramp émet le souhait de sortir un album, un 33 tours.
La formation répète aux Morgan Sound Studios de Londres et décide, comme Spooky Tooth et Traffic, de travailler uniquement entre minuit et six heures du matin et de s’autoproduire.